Sécurité routière et mobilités : la haute administration dérape

Publié le

Sécurité routière et mobilités : la haute administration dérape

Que son véhicule soit fixe ou mobile, le citoyen français est frappé de toutes sortes de ponctions aussi impopulaires que l’étaient la gabelle ou les « aides » sous l’Ancien Régime.

Les bons chiffres de la Sécurité routière sont principalement à mettre au crédit de l’amélioration en sécurité passive et active des véhicules depuis les années 1970, de la meilleure capacité d’intervention des services d’urgence (pompiers et SAMU) et de la formation des conducteurs. En somme, ingénieurs, sauveteurs et formateurs sont autrement plus efficients en ce domaine que des administrateurs bureaucrates.

Source Contrepoint

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article